13 JOURS… #21 : Pari réussi !

J’ai lancé le pari de 13 jours d’affilée de pensée positive… annoncé 16 puisque j’estimais avoir un peu craqué au jour 3 (repêchée in extremis par la représentante en France du Goal Mapping, chouette, merci Lise ! (*)), mais j’avais décidé (sans vous le dire) que j’irai jusqu’à 21 ! 😉

Car 21 jours, c’est le temps qu’il faut, tous les spécialistes s’accordent pour le dire, pour ancrer une nouvelle habitude dans notre cerveau. (**)

Et j’ai remporté mon pari ! Waouh ! 😉 Mais surtout, bien plus facilement que je ne m’y attendais : car la pensée positive, ça dope, et vous vous sentez tellement mieux que ça motive pour continuer !

Allez tiens, je célèbre, je m’auto-congratule et… je savoure : je m’offre une petite pause de cloche de pleine conscience ! (***) Vous la faites avec moi ?

Yeahhhh !!! Ça vous redope pas, vous ?! Moi je suis en train de devenir carrément accroc !

Comment ça marche ? Vous vous connectez sur le site http://fungie.info/bell/#, programmez la cloche (moi je « set » la « small bell » comme ils le suggèrent toutes les 30 minutes, et la « big bell » toutes les 60 minutes), vous laissez votre navigateur ouvert sur votre ordi sur un onglet à part et hop ! Toutes les 30 minutes, vous profitez à fond de quelques secondes de respiration en pleine conscience ! La première journée, la « big bell » déclenchait à chaque fois mes larmes… c’en était impressionnant ! Faut croire que ça résonnait vraiment profondément en moi… Maintenant, juste, je « kiffe » et je respire ! 😉

Alors à partir de maintenant, pour moi, la pensée positive, c’est tous les jours ! 😉
Les articles, en revanche, une fois par semaine seulement…:  je vous propose de vous inscrire à ma newsletter pour les recevoir directement dans votre boîte email.

Aujourd’hui, comme dans mon article #14, je vous propose un « petit récap’ » des articles de la semaine qui vient de s’écouler :

15) Always Look on the Bright Side of Life : la vidéo des Monty Python et la chanson !
16) Je respecte et j’honore mes enfants : penser… positif !
17) À propos du polyamour, encore appelé l’art des amours plurielles ou… lutinage.
18) La Fenêtre d’opportunité : pour mieux intégrer de nouvelles notions, partagez !
19) Les « Moments magiques » de Mihaly : La Psychologie du bonheur.
20) Faire face à la douleur physique : Que se passe-t-il en moi ? 

Et parce que le bonheur, ça se partage, voilà le cadeau que m’a offert hier ma fille de cinq ans avant de repartir ce matin chez son père pour sa 2ème semaine de résidence alternée : de quoi afficher au-dessus de mon bureau et penser à elle toute la semaine avec le sourire ! 😉
Me voilà donc telle que ma fille me voit – je suis sûre que vous m’aviez reconnue ! – avec mon amoureux qui… m’offre des fleurs ! Elle est pas belle, la vie ?! 😉

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Et vous, alors, tenté(e) par ce défi de 13 jours de pensée positive ?!  Si je l’ai fait… vous pouvez le faire ! L’espace des commentaires vous appartient : je vous attends pour partager ! 

Au plaisir, et… à la semaine prochaine !

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Isabelle

(*) cf mon article #4
(**) C’est la raison pour laquelle par exemple Christine Lewicki s’était lancé à elle-même son pari de « 21 jours pour passer de râler à célébrer »
(***) cf mon article #11 sur la cloche de pleine conscience de Thich Nhat Hanh, ce moine vietnamien que m’a fait découvrir mon amie Elisabeth sur sa page FB : Mieux-être au travail (ah, sa méditation du chocolat ! J’en rêve ! 😉

13 JOURS… #20 : Que se passe-t-il en moi ?

Aujourd’hui, je fais face à un défi particulier : la douleur ou le mal-être physique.

J’ai parfois la sensation d’avoir une vertèbre « coincée » qui en réaction, me bloque la respiration… et c’est un cercle vicieux : je me replie sur moi-même, je ne me sens pas capable de faire telle ou telle chose, je vois tout en noir… – la fameuse spirale descendante des « pensées négatives ».

Sauf qu’aujourd’hui… au lieu de les croire, ces pensées négatives, je les ai repérées et même observées avec intérêt : j’ai pris conscience du phénomène. Et ça… c’est positif ! 😉

Ça fait longtemps – des années – que j’ai cette douleur récurrente, longtemps aussi que je l’ai associée au stress… tout en pensant que je n’avais aucun pouvoir sur elle : quand j’ai cette « vertèbre coincée », je file voir l’ostéo. Jusqu’à il y a peu.

Tout a commencé avec la lecture en juin de Pouvoir illimité de Anthony Robbins, conseillé par mon amie Nadia Akkari : une première approche de la PNL (programmation neuro-linguistique) et du pouvoir que l’on peut exercer sur nos pensées.

Et puis dans Que se passe-t-il en moi ? d’Isabelle Filliozat, j’ai lu ceci :
 » Êtes-vous conscient de vos stratégies de prédilection pour ne pas sentir ? (…) Le processus est : je me donne une stimulation pour distraire mon attention, je dérive l’énergie. (…)
Pour stopper le flux de nos émotions, nous cessons de respirer naturellement (…) en bloquant tout simplement le diaphragme, comme si nous faisions un nœud au niveau du plexus. On sent bien ce verrou dans le dos, à la hauteur de l’attache du soutien-gorge pour les femmes. (…) La tension est là, témoin du blocage de la respiration. »

Ce paragraphe a fait « tilt » : c’est ça, c’est exactement ça !

J’en ai parlé à mon ostéo qui m’a confirmé que la douleur – bien réelle – que je ressentais ce jour-là venait de… mon cerveau (car elle ne trouvait rien de mécanique) : la « sensibilisation centrale » envoyait un message de douleur physique à l’endroit où elle en avait le plus l’habitude. Autrement dit : pour ne pas faire face à une émotion trop pénible, mon cerveau la « dérivait » en douleur physique. Dingue, non ?

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Cette semaine, je pense avoir repéré « l’origine » du problème : un rendez-vous éprouvant lundi matin, dont je suis sortie avec le nœud à l’estomac et la poitrine serrée. Comme par hasard, ce jour-là, je n’ai pas pris le temps d’écouter ma cloche de pleine conscience, ni de faire de la méditation : j’avais déjà « perdu assez de temps comme ça« , et j’ai enchaîné avec ma journée de travail. Et depuis… ma vertèbre est « coincée » !

Le côté positif de tout ça, c’est qu’aujourd’hui, j’en prends conscience. Je sais désormais que j’ai le pouvoir de choisir mes pensées. Et c’est précisément quand je me sens mal… que je VEUX avoir ce réflexe de respirer en pleine conscience.

La méditation, la respiration, le contrôle de ses pensées… c’est comme tout : c’est un apprentissage, et ce n’est pas quand tout va bien qu’on en a le plus besoin : c’est au contraire pour avoir le réflexe d’y avoir recours quand ça va mal… qu’on choisit de pratiquer quand tout va bien…;-)

Alors aujourd’hui… j’ai fait une méditation sur mes zones de douleur et je me suis arrêtée régulièrement pour respirer en écoutant la cloche de pleine conscience. Et déjà, ça va mieux… Waouh ! 😉

Et vous, que faites-vous quand ça va mal ? L’espace des commentaires ci-dessous est pour vous : vous y êtes plus que les bienvenu(e)s ! 

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Au plaisir et à demain !

Isabelle

13 JOURS… #12 : Mes pensées créent ma réalité

Il est bon, parfois, de se souvenir de pourquoi on fait telle ou telle chose.

C’est à ça que sert aussi, pour moi, la  cloche de pleine conscience dont je vous parlais hier (*) : se ramener à soi, se rappeler à son propre « bon souvenir ».

Depuis maintenant douze jours que je m’astreins, jour après jour, à ces articles de pensée positive, je me suis souvent posé la question : pourquoi me suis-je lancé à moi-même ce challenge ?

Je crois qu’après des années de lectures et d’ateliers de développement personnel, j’ai ressenti comme un déclic en découvrant le Goal Mapping de Brian Mayne (**) : on dit souvent que le maître arrive quand l’élève est prêt.

Sa suggestion de challenge de 13 jours d’affilée de pensée positive est tombée à pic : au moment même de la mise en place de la garde alternée pour mes enfants contre laquelle je m’étais battue depuis des années. Le moment ou jamais pour moi de lâcher prise : l’univers m’envoyait un message, je pouvais choisir de l’entendre… ou pas.

J’ai été convaincue par l’argumentation : le négatif entraîne le négatif, le positif entraîne le positif. Mais aussi par : le cerveau est comme un muscle qu’on peut entraîner, jour après jour, pour lui apprendre de nouveaux chemins.  

Décider de penser positif est une chose, y arriver en est une autre. Comme il n’y a rien de tel pour tenir un objectif que de le rendre public en l’annonçant au monde, j’ai alors… « lancé mon sac par-dessus le muret » (***).

Mon objectif en tenant ce blog, jour après jour, était de me tenir à cette discipline de la pensée positive : prendre conscience des ornières qui bordent mon chemin, les reconnaître pour ce qu’elles sont, et les éviter… Plutôt que de me laisser aller à la déprime : penser plus haut, plus loin et ne jamais oublier qu’après la pluie, vient le beau temps, et qu’au-dessus des nuages, le ciel est bleu. (****)

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Bien sûr, depuis douze jours, j’ai eu des moments de doutes, ou de déprime : mais grâce à ce challenge, j’ai refusé de me laisser entraîner par ces pensées qui, après tout, n’étaient que des pensées. Nos pensées ne sont pas la réalité. Nos pensées, en revanche, activent en nous des chemins qui déclenchent des émotions. Et ces émotions peuvent déclencher à leur tour des sensations agréables ou désagréables.

Alors, plutôt que d’écouter nos pensées négatives, qui à leur tour déclenchent en nous des émotions et des sensations désagréables (car il n’y a pas d’émotions « négatives » ou « positives » en soi), qui alimentent en retour de nouvelles pensées négatives – c’est la spirale vers le bas -, accueillons nos émotions pour ce qu’elles sont… acceptons-les… reconnaissons-les… sans jugement… et faisons le choix d’une pensée positive, qui nous permettra de sortir de l’ornière.

J’aurais pu vivre cette première semaine de garde alternée imposée comme une « punition », comme une « défaite »… j’ai choisi d’en célébrer le positif.

C’est à ça, bien sûr, et principalement, que me sert au quotidien, et depuis douze jours, ce challenge de pensée positive.

Et j’en vois déjà, jour après jour, et de mieux en mieux, les bénéfices : je suis plus heureuse, plus sereine, je garde le cap. Vous savez ce que m’a dit ma coiffeuse ce matin : « Ça va mieux, toi, non ? Tu as l’air plus ouverte, plus légère ». Waouh !!! 😉

Et vous, à combien de jours d’affilée de pensée positive en êtes-vous ? Comment ça se passe ?
L’espace des commentaires ci-dessous vous est réservé : au plaisir de vous y retrouver et de partager avec vous. 

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Et à demain, pour de nouvelles pensées positives !

Isabelle

(*) cf mon post #11 : pour installer le gong sur votre ordinateur, cliquez ici

(**) Cliquez ici pour une soirée de découverte gratuite du Goal Mapping avec sa représentante en France le 21 novembre à Paris ! Pour plus de renseignements, vous pouvez lui envoyer un mail.

(***) cf 3 Kifs par jour de Florence Servan-Schreiber et mon post #1

(****) En cherchant comment illustrer « Après la pluie, vient le beau temps », j’ai soudain réalisé que ma fille de 5 ans dessine toute la journée… des arcs-en-ciel !
J’ai pris cette photo le soir-même de la sortie en salles de mon premier long-métrage, Tout le plaisir est pour moi, il y a tout juste dix ans : je ne l’avais pas revue depuis ! J’y vois bien sûr un signe… positif ! 😉

 

13 JOURS… #11 : La Cloche de pleine conscience

Aujourd’hui, comme tous les jours d’ailleurs, je pourrais ruminer, comme je le faisais avant, sur « tout ce que je voulais faire mais que je n’ai pas eu le temps de faire… » : c’était mon côté « exigeante et perfectionniste », mon côté « Je veux toujours en faire plus » , et « jamais contente » .

Ça vous dit quelque chose, « Peut mieux faire » ?
Combien de générations ont été traumatisées par des « Peut mieux faire » ?

Certes, on peut souvent faire « mieux »… ou pas !
Car parfois, le mieux est l’ennemi du bien !

Quand je me suis lancée dans l’aventure de mon deuxième long-métrage, LUTINE, si j’avais voulu « tout faire bien » comme je l’exigeais de moi-même avant… je serais encore en train de peaufiner le scénario !

Je ne remercierai jamais assez Tal Ben Shahar et son Apprentissage de l’imperfection :  chaque jour, en pensant à lui, je me lançais AVANT de me sentir prête ! Et aujourd’hui, à peine deux ans après la toute première intuition du film, on arrive presque au bout du montage-image !

Alors je continue sur ma lancée, et tous les soirs, je note mes « 3 kifs » (*) de la journée, en choisissant de valider le positif et de célébrer tout ce que j’ai réussi à faire !

Aujourd’hui, je suis hyper fière et heureuse de vous annoncer la naissance de ce site « pro » : lutineetcie.com (avant j’écrivais sur wordpress.com). Yeaaaahhh !

Et dans mon journal de gratitude, je tiens à remercier mon amie Elisabeth (**) dont les méditations et les posts m’inspirent au quotidien et grâce à laquelle j’ai découvert un outil assez merveilleux… et si émouvant pour moi : la « mindfulness bell« .

En cliquant sur ce site fungie.info/bell, vous pourrez en effet programmer (à intervalles réguliers ou de manière aléatoire) un gong de moines bouddhistes : cette cloche de pleine conscience nous rappelle à nous-mêmes, et à notre centre. Quand elle sonne, elle nous invite à nous recentrer sur nous : à respirer en pleine conscience.

Les premières fois que je l’ai entendue – que je l’ai « écoutée » plutôt, et accueillie pleinement – les larmes me sont montées aux yeux, direct : il faut croire qu’elle résonnait très profondément en moi.

J’ai fini par réaliser qu’elle me rappelait l’horloge du salon de mes arrières-grands-parents quand j’étais petite : une très émouvante façon de me recentrer sur moi, sur qui je suis, et ce qui compte vraiment pour moi.

L’occasion aussi, après ces respirations en pleine conscience, de se poser la question : « Suis-je en train de faire ce que j’ai décidé et choisi de faire ? Est-ce que ce que je fais me rapproche du chemin qui est le mien ? »

Merci, merci à la vie, merci à Thich Nhat Hanh, le moine vietnamien à l’origine de cette mindfulness bell, entendue dans mon appartement parisien aujourd’hui.

Et vous, que faites-vous pour vous rappeler à votre bon souvenir ?
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Au plaisir, et à demain,

Isabelle

(*) cf 3 Kifs par jourde Florence Servan-Schreiber
(**) cf la page Facebook d’Elisabeth : Mieux-être au travail
Et merci à Marie, la Fée des blogs, pour m’avoir accompagnée dans cette mutation de mon site.