Éducation au consentement

L’éducation au consentement, ça commence… dès le plus jeune âge !

Pour voir la campagne entière de « MON CORPS, C’EST MON CORPS » (vidéos, textes, chanson, partition, etc.) de cette campagne québécoise datant des années 80, cliquez sur le lien ci-dessus.
Ici, la vidéo de 4 mn avec le début de la chanson :

 

 

Des articles parus en 2017 :
Ne forcez pas vos enfants à faire des câlins ou des bisous
Bisous et câlins forcés : pas cette année, svp !
I don’t own my child’s body

Le consentement commence évidemment dès le plus jeune âge. Bien avant que les enfants ne sachent s’exprimer avec des mots !
Et ça va dans les deux sens :
1. Si vous êtes un·e parent, protégez vos enfants – quel que soit leur genre, bon sang ! Pourquoi ne parler « que » des petites filles ?! Protégeons aussi nos garçons ! Le consentement, c’est apprendre que « mon corps est mon corps » et qu’en miroir, le corps de l’autre… lui appartient !
2. Et vous, en miroir précisément, ne touchez *jamais* un enfant sans lui avoir demandé avant si ielle en avait envie !

Si vous lui laissez l’espace – et le temps – de venir vers vous ou au contraire de se reculer, le langage non-verbal d’un enfant est très clair pour vous indiquer si ielle a envie – ou non – d’un contact physique avec vous.
En lui signifiant qu’ielle a le choix, sans aucune conséquence pour ellui, vous faites un cadeau précieux à cet enfant (et au passage, peut-être que son parent également retiendra quelque chose de votre interaction).
J’en fais l’experience quasi au quotidien avec les ami·es de mes enfants : combien sont surpris·es la 1ère fois que je leur laisse le choix, de me faire effectivement la bise comme ielles en ont l’habitude… ou bien de me serrer la main, de me saluer comme les Indien·nes, les Japonais·es ou bien un simple bonjour de la main ou de la tête ?Quelle joie ensuite quand un·e enfant arrive chez moi une fois suivante en me tendant fièrement la main pour me dire bonjour ou quand ielle s’en va en me faisant un signe de la main sans se sentir « obligé·e » de me faire une bise !
Ce jour-là, j’ai vraiment l’impression d’avoir « transmis » quelque chose de l’ordre du… respect fondamental de la personne : quel que soit son genre… ou son âge !

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*** CONSULTATIONS ***

 

En plus de mon expertise sur la polyamorie,
je suis désormais officiellement coach en accompagnement du changement et psychopraticienne en IR (Intelligence Relationnelle®).
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