L’équipe / Crew

A l’image :

J’ai commencé le tournage en 2013 avec Raphaël Vandenbussche, un jeune chef-opérateur très doué de la FEMIS, rencontré en y encadrant un tournage…

IMG_8383 - copie 2

puis avec Christophe Colonel qui, en quelques jours, a su se rendre totalement indispensable au projet.

_MG_2960 - copie
Photo @ Michèle Laurent 2013

Le tournage a ensuite continué à l’automne avec Isabelle Razavet, dont je connaissais le travail depuis plus de quinze ans, mais que j’ai découverte avec bonheur au cours de nos jours de tournage ensemble ;

IMG_9450 - copie

mais aussi avec Julie Grünebaum, rencontrée à la FEMIS où nous étions toutes deux intervenantes,

IMG_9483

et qui m’a présenté Jordane Chouzenoux ;
avec Olivier Dessalles, arrivé sur le projet par une amie commune ;

IMG_9398

et enfin Justine Bourgade, qui s’est aussitôt intégrée dans notre famille…

_I8A0545Photo @ Michèle Laurent 2014

Au son :

Qui d’autre que Laurent Benaïm ? Il était avec moi sur A corps perdu, a été de l’aventure de Paris-Deauville, mon téléfilm pour Arte, puis de Tout le plaisir est pour moi, premier long métrage pour l’un comme pour l’autre.  Depuis,  il n’a pas arrêté, a enchaîné les films de fiction et les documentaires. Comment imaginer de travailler avec quelqu’un d’autre ? J’ai été infiniment touchée qu’il accepte à nouveau de partir avec moi sur ce projet.

IMG_8382 - copie

Nous avons tourné le tout premier jour de tournage ensemble, avec Renaud Triboulet à la perche, puis Laurent partant en tournage sur un documentaire, il a été remplacé par Xavier Piroëlle, avec qui j’avais déjà fait Les Jours bleus.

_MG_2955 - copiePhoto @ Michèle Laurent 2013

Depuis, nous avons eu le plaisir d’accueillir parmi nous de nouveaux venus dans la famille, qui y ont aussitôt trouvé leur place :  Virgile Van Ginneken
IMG_9434 - copie

et Nicolas Paturle, sortis eux aussi de la FEMIS il y a quelques années,
et encore Guillaume Valeix, Vincent Lefebvre

_I8A0558Photo @ Michèle Laurent 2014

Yves-Marie Omnes, Pierre Bompy, et Thomas Tymen. Décidément un film collectif…

IMG_9467

À la perche, quand Renaud Triboulet ou Stéphane Le Dall ne pouvaient pas, nous avons tourné avec Laurent Blahay et Anne Dupouy, eux aussi anciens élèves de la FEMIS, et encore Alexandre Gallerand. Quel plaisir de faire la connaissance dans le travail de tous ces techniciens enthousiastes et motivés… Mais j’ai aussi le grand plaisir de voir revenir pour une journée Stéphane Vizet, le perchman inoubliable des Jours bleus et de Tout le plaisir est pour moiCes fidélités multiples me touchent infiniment.

Au casting :

J’avais travaillé avec Stéphane Gaillard sur Paris-Deauville, et ça avait un plaisir de tous les instants. Pour des raisons indépendantes de ma volonté, je n’avais pas pu travailler avec lui sur Tout le plaisir est pour moi. Je suis incroyablement heureuse et honorée qu’il ait accepté de faire ce nouveau film avec moi !

Conversation filmée avec Stéphane Gaillard

 

Les indispensables :

Avant tout, Solène Belleux, notre scripte, elle aussi sortie de la FEMIS : décidément ! C’est vraiment la « continuity girl », réellement indispensable, et un vrai bonheur au travail…

IMG_5151 - copie

Et Julia Colin, qui a commencé et achevé le tournage, quand Solène ne pouvait pas. Un vrai travail d’équipe.

_I8A0504

Photo @ Michèle Laurent 2014

J’ai aussi débauché toute une équipe de jeunes fraîchement diplômés ou même pas encore, pour m’assister : Anaïs Goudal, qui sort de l’EICAL en Suisse, en assistante les premières semaines, et des étudiants du CLCF : Hadrien Southwell, Alban Arnaud-Guinaudeau, François Dalleu, Clémence Smadja, ainsi qu’un jeune bachelier, Raphaël Nacache, ont été nos régisseurs ponctuels. Merci à toutes et tous !

Et puis, en renfort les jours où je sentais que j’avais vraiment besoin d’aide à la mise en scène, mes ami(e)s sont venu(e)s à la rescousse : Sandrine Ray, Isabelle Gély, Bertrand Boutillier, Antoine Desrosières, ont répondu présent(e)s et je les en remercie !


Au montage-image : 

J’ai réuni une super équipe issue de la FEMIS autour de moi, et j’en suis ravie : vive l’amicale des anciens élèves ! Emmanuelle Joly a assuré la mise en route du projet, Quentin Cavellier a pris le relais en assistant mais aussi monté le film-annonce (qu’il en soit remercié encore, et félicité !) et Sonia Bogdanovsky s’est installée chez moi pendant des mois (sur deux années scolaires, entre notre rencontre en août 2013 et la fin du montage image en mai 2015 !),  montant dans la chambre de mon fils pendant qu’il était à l’école, accro tout autant que lui aux compotes pomme-châtaigne et aux tartines de nutella ! Bravo et merci, Sonia : sans toi, ta patience et ton sourire permanent, ce film ne serait pas ce qu’il est !

IMG_4650


En post-production : 

Rym Debbarh-Mounir a assuré le montage-son : c’est une rencontre merveilleuse dont je me réjouis chaque jour.

IMG_5616

Et Mélissa Petitjean a mixé en août 2015 : comme Rym, Mélissa est issue de la FEMIS et je l’ai rencontrée via mon amie Stéphanie Girerd. IMG_6389

Enfin, Isabelle Laclau, que m’a présentée Isabelle Razavet, a étalonné le film au Studio Orlando : un vrai plaisir de la découvrir et de travailler avec elle. Que des filles, et que du bonheur !

IMG_6211

En parallèle, les effets spéciaux (oui oui, vous vous demandez bien lesquels ! Eh bien, nous avons par exemple parfois changé les plans du film qui sont montrés sur l’écran de l’ordinateur… et ça, ça demande un travail « spécial » dans une boîte « spécialisée !) ont été assurés par l’équipe d’AUTRE CHOSE, sous la direction de Matthias Weber et Stéphane Bidault, et notamment par Rodrigue. Merci !!

Last but not least, Sylvain Bérard a assuré les « finitions numériques », assemblage pour le DCP et autres opérations un peu mystérieuses mais absolument nécessaires en fin de post-production.

Enfin, ce sublime dessin qui accompagne partout LUTINE sur les réseaux sociaux depuis le tout début et que l’on retrouve aujourd’hui sur l’affiche est signé de Chlouk  !

Sans oublier l’indispensable incontournable à toutes les étapes, celui sans lequel LUTINE n’existerait tout simplement pas : Loïc Prot, qui l’a inspiré, m’a soutenue depuis le début, et a aussi composé la musique du film, en parallèle d’un morceau qui avait été composé par Quentin Sirjacq pour mon film précédent en 2003. Il a aussi créé le générique de fin, l’affiche et maintenant, monte le making of pour le bonus du DVD !

Post-post-production :

Quand le film est fini, quand la post-production est finie… il reste encore la post-post-production, et l’accompagnement du film pour sa distribution, son exploitation, sa diffusion ! Là, encore, j’ai eu la chance de rencontrer des gens formidables !

Un film n’est rien sans sa bande-annonce : c’est Jean-Marc Peyrefitte, lui-même réalisateur et monteur, qui l’a montée, nous apportant un regard neuf sur le film. Merci Jean-Marc !

Le film a été traduit, lui permettant de voyager partout dans le monde ! D’abord par Sionann O’Neill, en anglais, traductrice professionnelle que je connais depuis des années, et qui a fait un travail remarquable ; puis par des bénévoles de par le monde : Luca Boschetto, de poliamore.org pour l’italien, Pau Masats de Amors Plurals pour le catalan, Élisende Coladan pour l’espagnol, Veronika Loitzenbauer pour l’allemand, Yen-Tsiu pour le chinois, et ce n’est pas fini… Sans oublier les personnes qui ont traduit la bande-annonce en polonais (Justyna Sempruch) et finnois (Daniil Yakovlev).

Et puis, parlons d’accessibilité ! Le film sera exploité uniquement en version avec sous-titres SME, pour personnes sourdes et malentendantes, et existera également en audio-description, grâce à Marie Gaumy qui l’a écrite et interprétée, tandis que Aïko Foulon, de l’AVH (association Valentin Haüy) l’a enregistrée. Merci à elles !

Quelle équipe et quel plaisir au quotidien depuis toutes ces années de travail autour de LUTINE : MERCI MERCI à toutes et tous, vraiment !