Revue de presse

À mi-chemin entre comédie et film d’auteurTout le plaisir est pour moi séduira par son humour subtil et des personnages auxquels on s’identifie forcément.
F. L., La Marseillaise

Une comédie romantique inattendue et jubilatoire, entre légèreté, cocasserie et commentaire social.
Séverine Pierron,  Glamour

Premier film d’Isabelle Broué, (…) cette comédie très crue, qui vise à faire tomber les masques de la « simulation », ne manque pas de finesse dans sa manière d’aborder un sujet sensible et tabou.
David Fontaine, Le Canard enchaîné

Aborder le thème de la sexualité de façon légère et drôle n’est pas fréquent. Grâce à la fraîcheur éternelle de Marie Gillain et l’humour d’Isabelle Broué, cette comédie audacieuse bénéficie d’une grande vitalité. Idéale pour une soirée d’été.
Femina

Le premier long-métrage d’Isabelle Broué est une réussite. Elle a bâti une comédie légère, où la sexualité est dédramatisée, le sexe abordé sans tabou par son héroïne et son compagnon, comme avec sa famille et ses amis. Un film ni graveleux, ni féministe, à voir en couple.
Bérengère Adda, Le Parisien

Avec « Tout le plaisir est pour moi », une comédie sur le plaisir sexuel au féminin(…), la jeune réalisatrice Isabelle Broué réussit à briser un tabou sur un ton léger et plein d’humour. Résultat : un petit bijou qui pourrait devenir la bonne surprise de cet été.
Gildas Leroux, AFP

Isabelle Broué a choisi le biais de la comédie débridée pour parler gaiement de choses graves. (…) Mêler les angoisses physiologiques d’une femme d’aujourd’hui à la légèreté d’un vaudeville pour rebondir très moralement sur le sentiment en évoquant un sujet tabou est d’une audace assez sympathique. (…) Et puis avec la frimousse insolente de Marie Gillain, la naïveté effarée de Julien Boisselier ou les allures accablées de Garance Clavel sur le chemin de la rédemption conjugale, la fable libertine sait être parfois pertinente dans l’impertinence en effleurant liberté sexuelle et frustration avec le sourire.
Dominique Borde, Le Figaro

L’orgasme féminin filmé avec le sourire.
Jean-Luc Martinez, La Dépêche du Midi

Ce premier long-métrage d’Isabelle Broué est une réussite. Ce film n’est pas une caricature et ne donne pas de leçons, il transmet tout simplement des émotions liées au plaisir gourmand de la vie. Désespoirs et situations comiques sont sans cesse mis dos-à-dos et font de cette comédie romantique un pur moment de bonheur. La rencontre entre les acteurs et la réalisatrice créée une alchimie qui donne au film un rythme et une sensualité débordante. En fait, tout le plaisir est pour nous.
Patricia Barnet, Le Dauphiné libéré

Le clitoris est le héros méconnu (…) de cette comédie de mœurs gonflée sur le plaisir féminin (…). La réalisatrice et son interprète (Marie Gillain, d’un charme et d’un culot ravageurs) foncent droit sur l’obstacle et « balancent » des vérités crues, drôlement dérangeantes. Ce sont « des choses qui ne se disent pas », paraît-il, mais ça fait vraiment plaisir de les entendre.
Jean-Claude Loiseau, Marie-France

Le naturel et l’authenticité des dialogues et de l’interprétation parviennent à nous entraîner dans une histoire originale, où chacun peut toutefois retrouver une partie de soi. Au bout du compte, c’est l’émotion d’une belle histoire d’amour qui nous rattrape. Un premier long-métrage courageux pour Isabelle Broué.
Floriane Lionnet, Le Dauphiné Libéré

TOUT LE PLAISIR EST POUR MOI a le mérite de vous égayer en abordant un thème difficile et audacieux. Sans la moindre vulgarité, le premier long-métrage d’Isabelle Broué est une réussite, il vous emporte simplement avec rire et tendresse.
Nadège Fleury, commeaucinema.com

Cette comédie plutôt pétillante (on y peut songer, aux meilleurs instants, à certains films de Cukor ou Lubitsch, ou à un Woody Allen qui aurait oublié d’être amer) échappe cependant, c’est sa plus jolie qualité, au pur fatras sociologique : des émois et désarrois de trentenaires confortables, du féminisme et de ce qu’il en advient, de la psychanalyse et de ses impasses, etc. Certes, le film a été fait, de l’aveu même de sa jeune réalisatrice, « en réaction à une ambiance de sexualité glauque, sinistre, dépravée, ou en tous cas que je reçois comme telle ».
Implicite pamphlet anti-porno trash chic, il échappe cependant à toute tentation de niaiserie, par son simple parti-pris de simplicité frontale. Comment filmer une scène d’amour ? « En filmant le plaisir », répond seulement Isabelle Broué.
Jérôme Mallien, Les Dernières Nouvelles d’Alsace

Avec elles (et eux), tout le plaisir est pour nous. Une comédie sur le plaisir sexuel féminin. Sans tabou et sans vulgarité.
Le titre du film n’est pas seulement enjoué, à l’image de sa comédienne principale, une Marie Gillain toute en coupe garçonne et fraîcheur motorisée. Il est juste aussi : Tout le plaisir est pour moi est une comédie – jamais égrillarde ni racoleuse – sur le plaisir (sexuel) féminin.
(…) Tout le plaisir est pour elles – Garance Clavel et Brigitte Roüan sont également formidables – et donc, par ricochet, un peu pour nous.
Ariane Allard, La Provence

Ce film est un petit chef-d’œuvre de drôlerie, avec des dialogues et des situations qui font vraiment rire… un vrai film comique (c’est assez rare pour le souligner) !! C’est aussi un très beau film sur les relations amoureuses qui sait parfaitement nous montrer trois différents types de couples : les trentenaires célibataires ; ceux qui sont déjà installés dans la vie, avec des enfants ; et enfin, les parents qui ont un vrai regard sur la vie à deux… Pour finir, c’est aussi un film sur le sexe, sur le plaisir, auquel vous prendrez immédiatement… votre pied ! Alors, courez-y !!
Hervé Millet @male.com

Illuminé par la présence radieuse et naturelle de Marie Gillain, craquante et à croquer, le premier film d’Isabelle Broué réussit à ne parler que de cul sans être vulgaire et rassemble autour de son héroïne un aréopage d’excellents seconds rôles : Julien Boisselier (…) à l’intrigante douceur, Garance Clavel, (…) émouvante dans le rôle de la soeur qui s’initie aux siestes crapuleuses, Tsilla Chelton (« Tatie Danielle ») en vieille coquine, François Marthouret en père largué et la trop rare et délicieuse Brigitte Rouan (« Post coitum, animal triste ») en mère hystérique et paumée.
Un moment fugace mais agréable, à passer seule, en copines, en couple et même, pour les plus libérées, en famille (avec parents ou enfants ados et plus).
Françoise Monnet, Le Progrès

Marie Gillain enthousiasme Annecy.
Une du Dauphiné libéré

Le scénario, un peu convenu, est néanmoins relevé par l’interprétation des acteurs tout en fraîcheur et en naturel, ce qui en fait un joyeux divertissement.
Hélène Fily, Ouest France

Une comédie pétillante et sans prétention sur le thème de la sexualité féminine.
Gaëlle Guernalec-Lévy,  DS

Faussement provoc et un rien déjanté.
Lili Yubari, Biba

Une comédie maligne qui aborde avec légèreté des thèmes sérieux, tels l’épanouissement sexuel et la routine.
Audrey Nait-Challal,  Bien dans ma vie

Un ton déconcertant, direct, abrupt, contemporain.
Hugo Deschamps, Avantages

Choisir la comédie pour évoquer sans tabous la sexualité féminine était un pari osé. Mais, comme l’explique la réalisatrice Isabelle Broué : « Je voulais faire un film qui parlerait de sexualité avant tout sous l’angle du plaisir. La comédie permet d’aborder des sujets graves sans en avoir l’air ». Elle s’attaque donc à ce sujet avec humour, sans pour autant délaisser le sérieux. Rapport des femmes avec leur corps, relations entre hommes et femmes sont ici décortiqués avec soin. Avec une réflexion autour de l’importance de la liberté d’expression pour bien vivre sa sexualité.
Nicolas Jouenne, Le Figaro-TV mag, 2010