** FLORILÈGE ET PETITES PHRASES **
Une comédie pétillante, philosophique et coquine.
Atypique et inclassable, libre et déjanté, à butiner sans hésitation.
Un charme authentique et une liberté folle.
L’amour au féminin pluriel.
Une extraordinaire liberté de ton.
Les interprètes, dont le lunaire Philippe Rebbot, sont plus vrais que nature.
[Un] film (…) où l’humour est aussi naturel que le souffle de la vie chez un être vivant aérobique.
[Un film qui mélange] savamment exploration intime et réflexion sociologique.
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Une fantaisie polissonne. Une comédie pétillante, philosophique et coquine.
Caroline Vié, 20 Minutes
LUTINE est un film où il faut lâcher prise et se laisser emporter par ce tourbillon introspectif et créatif qui oscille entre les différents genres et les différents niveaux de lecture. Un film hybride sur le polyamour réjouissant ! (…) En sortant des terrains battus, Isabelle Broué nous livre un film atypique et inclassable, libre et déjanté. Un film à butiner sans hésitation !
Anne-Laure Farges, Le Blog du Cinéma
Une réflexion sur la création, libre et déroutante, où l’on ne distingue jamais le faux du vrai. Cela confère à ce docu-fiction un charme authentique et une liberté folle.
Frédéric Mignard, avoir-alire.com
Isabelle Broué, ou l’amour au féminin pluriel. (…) Une comédie documentée qui se tient en équilibre sur la ligne de démarcation entre fiction et réalité.
Nathalie Simon, Le Figaro
Ce film, d’une extraordinaire liberté de ton, nous balade dans les émotions, les résistances, le respect de l’autre.
La Dépêche du Midi
Les interprètes, dont le lunaire Philippe Rebbot, sont plus vrais que nature. Jeux de l’amour et amour du jeu : la mise en abyme (…) donne lieu à une curieuse badinerie.
Nicolas Schaller, Le Nouvel Obs’
LUTINE interpelle, provoque, chahute et questionne son spectateur. Tant sur le fond que sur la forme.
Swan Dufour, Le Dauphiné libéré
Isabelle Broué se met en scène dans cet objet indéfinissable, à la fois réflexion sur la création cinématographique (le scénario s’écrit en temps réel à l’écran, façon vrai-faux making-of) et les amours plurielles.
François Léger, Première
Isabelle Broué a (…) la folie salvatrice de toujours croire au cinéma et à l’amour. (…) On se prend à rêver qu’on peut encore aimer à la folie. Et qu’on a bien raison de croire encore et toujours au cinéma.
Théo Kayan, La Jeune Revue du cinéma
Isabelle Broué porte le film devant et derrière la caméra où l’humour est aussi naturel que le souffle de la vie chez un être vivant aérobique en passant par l’autodérision à la manière d’un Woody Allen sondant ses propres affects avec une grande perspicacité.
Cédric Lépine, Blog sur Mediapart
Dans LUTINE (…) Isabelle Broué vante les vertus de ce qu’on appelle la polyamorie, l’art de vivre des amours plurielles, mélangeant savamment exploration intime et réflexion sociologique.
Mounir Belhidaoui, RespectMag
Une comédie documentée sur la polyamorie que je vous recommande grandement [et qui] soulève des questions vraiment intéressantes sur la société, l’amour, le désir, l’exclusivité… »
Léa, parlerdamour.fr